A flor colhida outrora na original frescura,
agora clama, dada quando não pedida.
A pétala abandonada, murcha, insípida,
exala um ébrio néctar, banhado na secura.
Cálida lótus umectante, envolvida em afagos taciturnos,
arde perdida em chamas, no fogo da aquática ilha,
flutua em paisagens áridas, procurando totens ou plumas,
rastejante inundada na areia, a herbívora víbora diurna.
Na noite fugaz consome os sonhos com suspiros,
e se alimenta da voz ferida, atritada no lençol,
alongando a maciez da melancolia com ásperos olhos,
desgarrando pólen pelos lábios, na inevitável aurora.
A manhã próspera precipita prematura,
num subtil desabrochar antes pulsante,
apenas enrosca a luz contra a cortina,
e deslinda a vida dum calmo clausuro.
CALME CONFINE
"Le fleur récoltée dans l'original fraîcheur,
maintenant il clame, livré quand non appel,
lê pétale abandonnée, il défraîchit mate
il exhale un ivrogne nectar baigné dans la sécheresse.
Cálida lótus humidifiée dans des afagos taciturnos,
il brûle perdue dans dês flammes de l'aquatique île,
il flotte dans des paysages arides, en cherchant totens, ou enclos.
Piège inondée dans le sable,la herbívora vipère diurne.
La nuit fugaz consomme les rêves avec des soupirs,
et s'il nourrit de la voix, des blessés attrition dans le drap
en allongeant maciez de la mélancolie, avec de rugueux yeux
en égarant pólens par les lèvres, dans l'inévitable aube.
Le matin prospère il précipite precoce,
un subtile déboutonner avant pulsante,
seulement enrosca la lumière contre tapisse
et il définit la vie d'un calme confine."
agora clama, dada quando não pedida.
A pétala abandonada, murcha, insípida,
exala um ébrio néctar, banhado na secura.
Cálida lótus umectante, envolvida em afagos taciturnos,
arde perdida em chamas, no fogo da aquática ilha,
flutua em paisagens áridas, procurando totens ou plumas,
rastejante inundada na areia, a herbívora víbora diurna.
Na noite fugaz consome os sonhos com suspiros,
e se alimenta da voz ferida, atritada no lençol,
alongando a maciez da melancolia com ásperos olhos,
desgarrando pólen pelos lábios, na inevitável aurora.
A manhã próspera precipita prematura,
num subtil desabrochar antes pulsante,
apenas enrosca a luz contra a cortina,
e deslinda a vida dum calmo clausuro.
CALME CONFINE
"Le fleur récoltée dans l'original fraîcheur,
maintenant il clame, livré quand non appel,
lê pétale abandonnée, il défraîchit mate
il exhale un ivrogne nectar baigné dans la sécheresse.
Cálida lótus humidifiée dans des afagos taciturnos,
il brûle perdue dans dês flammes de l'aquatique île,
il flotte dans des paysages arides, en cherchant totens, ou enclos.
Piège inondée dans le sable,la herbívora vipère diurne.
La nuit fugaz consomme les rêves avec des soupirs,
et s'il nourrit de la voix, des blessés attrition dans le drap
en allongeant maciez de la mélancolie, avec de rugueux yeux
en égarant pólens par les lèvres, dans l'inévitable aube.
Le matin prospère il précipite precoce,
un subtile déboutonner avant pulsante,
seulement enrosca la lumière contre tapisse
et il définit la vie d'un calme confine."
(Théodor Bezellius)